01290333 - Cours à la Faculté de droit
| Niveau de diplôme | |
|---|---|
| Crédits ECTS | 4 |
| Volume horaire total | 24 |
| Volume horaire CM | 24 |
Responsables
Contenu
Année universitaire 2024-25
Enseignant : Jérôme COUILLEROT
Titre du cours : Approche philosophique et historique du droit public
Programme du cours :
Ce séminaire d’une quinzaine d’heures aborde la question fondamentale de la tension entre le devoir d'obéissance à la loi (lato sensu) et les catégories juridiques et politiques de la rébellion légitime. Le statut de la « rébellion légitime » sera abordé du point de vue de ses caractérisations politiques usuelles (figures du résistant, du terroriste, du « partisan »), mais aussi et surtout du point de vue de ses différentes formulations juridiques possibles. Il s’agira notamment de présenter les pensées « naturalistes » légitimant le droit de résistance, ainsi que les (rares) mises en œuvre réalisées ou envisageables de celui-ci en droit positif.
Il s’agira également de clarifier au passage un certain nombre de catégories connexes bien que non identiques, soit notamment les notions de : résistance à l’oppression, droit de résistance à l’oppression, désobéissance civile, objection de conscience, droit positif de « résistance » du fonctionnaire, etc. La lecture de l’Antigone de Sophocle servira de fil rouge à ces réflexions.
Enseignant : Jérôme COUILLEROT
Titre du cours : Approche philosophique et historique du droit public
Programme du cours :
Ce séminaire d’une quinzaine d’heures aborde la question fondamentale de la tension entre le devoir d'obéissance à la loi (lato sensu) et les catégories juridiques et politiques de la rébellion légitime. Le statut de la « rébellion légitime » sera abordé du point de vue de ses caractérisations politiques usuelles (figures du résistant, du terroriste, du « partisan »), mais aussi et surtout du point de vue de ses différentes formulations juridiques possibles. Il s’agira notamment de présenter les pensées « naturalistes » légitimant le droit de résistance, ainsi que les (rares) mises en œuvre réalisées ou envisageables de celui-ci en droit positif.
Il s’agira également de clarifier au passage un certain nombre de catégories connexes bien que non identiques, soit notamment les notions de : résistance à l’oppression, droit de résistance à l’oppression, désobéissance civile, objection de conscience, droit positif de « résistance » du fonctionnaire, etc. La lecture de l’Antigone de Sophocle servira de fil rouge à ces réflexions.
Contrôles des connaissances
Examen terminal